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Mummy Happy

12 novembre 2016

A Propos de Mummy Happy...

A Propos de Mummy Happy...
À propos... Hello tout le monde, Commençons par le commencement ! Je suis Angela, 26 ans, maman d’adorables petits monstres Leïna, Ryvèn, Wanès et un Bébé SURPRISE n°4. En couple avec Papa Mader (d'origine Congolaise) depuis 9 ans, nous vivons amoureux,...
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16 novembre 2016

"Mummy Happy" au bord de la crise de nerf !

"Mummy Happy" au bord de la crise de nerf !

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J’aime mon statut de mère au foyer. Je l’ai choisi, souhaité, assumé et néanmoins détesté ;-(.

Quelle maman ne s’est pas sentie un jour au bord de la crise de nerf ?

J’ai choisi d’avoir des enfants d’âge rapproché même si un bébé Surprise n°4 est attendu. Leïna avait quatorze mois quand Ryvèn est né et ils avaient 4/5ans quand Wanès est née. C’est merveilleux d’avoir en même temps un bébé et sa soeur de quelques mois plus âgé.

Je donne tant d’amour et j’en reçois encore bien plus. Je m'émerveille de voir s’instaurer ce sentiment fraternel. J'échange beaucoup et offre tellement. Tant et si bien que je me retrouve parfois sans énergie.

Je suis présente le jour comme la nuit. Je langeais l’un puis l’autre pour Leïna et Ryvèn. Je nourrissais les deux, j’assistais Ryvèn et apprenais à Leïna à gagner en autonomie. Je suis plus qu’une maman. La femme en moi n’a parfois plus le temps de se doucher, plus l’envie de s’alimenter, plus la force de sortir de chez elle. Je suis parfois en éveil de manière constante. Je tient de décrypter et de diminuer les pleurs de mon bébé Wanès tandis que je veille sur les aînés et surtout avec le deuxième Ryvèn qui est infatigable.

J’ai craqué et craque de nombreuses fois. J’ai fait souvent des reproches à papa Mader. J'ai parfois voulu solliciter et appelé au secours ma famille, ma mère, ma soeur, une amie mais n'ai jamais osée, la honte du maman culpabilisé...

Je suis souvent très fatiguée que ce soit physiquement que moralement. La journée, je n’ai parfois pas le loisir de m’accorder le repos si nécessaire !

Avec ce p'tit bébé Surprise qui arrive j'ai peur que la première année de vie commune à six soit la plus éprouvante de ma vie...

J'ai le sentiment de me sentir vraiment détestable. Je cries tout le temps pour un rien et pleure en cachette souvent. J’ai et eu des idées morbides, des envies de partir...

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Petit à petit, les enfants grandi et peut-être que au final ce sera juste un moment à passer pour une maman... J'ai quand même beaucoup de chance d'avoir un papa Mader investi dans mon quotidien. J’aimerais m’apaiser, trouver la femme perdue en moi.

L’écriture est ce que j'ai trouver pour peut-être me sauvée. C'est pour cela que j'ai crée ce blog "Mummy Happy" et peut-être qu'a travers de ce blog je rencontrerais des personnes formidables qui pourront me comprendre, qui vivraient les mêmes angoisses, les mêmes joies que moi.

Oui, je ne suis pas une mère parfaite et cela m’importe guère. Je travaille et travaillerais sil le faut jour après jour sur mes défauts, mes doutes. Je faute beaucoup et je n’ai pas toujours le moral mais c’est notre lot à tous.

J’aime ma famille, c’est la chose la plus précieuse que la vie m’ait offerte et je la protège jalousement !

Papa Mader n’est pas un prince charmant mais il est mon prince. Il est beau, gentil, amoureux, proche de ces enfants.

Mes enfants ne sont pas des anges. Ils sont fatigants et énervants certaines fois mais ils sont en bonne santé et ils découvrent la vie. N’est-ce pas cela le plus important ?

Quant à moi, je suis une mère au foyer parfois au bord de la crise de nerf, parfois heureuse/malheureuse à en pleurer, parfois désespérée mais toujours reconnaissante d’avoir eu le bonheur de fonder ma famille et de jouir de la vie avec elle ♥ Merci mon Dieu !

Mère épuisée, burn-out maternelle, mère désespérée, peu importe l’appellation, c’est un sentiment naturel et légitime. Nous ne sommes pas parfaites, l’important c’est de l’accepter (ce que je doit travailler) et de ne pas rester seule dans son désarroi. Combien d’entre vous ont connu cette situation ?

S’il y a bien quelque chose que notre société moderne nous offre, c’est la chance de ne pas rester enfermées dans notre chagrin. Si vous vous sentez au bord de la crise de nerf, parlez-en à votre conjoint, à votre famille, à votre médecin, sur internet. Ne croyez pas que vous êtes méchantes, vous êtes simplement humaines. Cherchez de l’aide et du soutient. Ne restez surtout pas seules !

Moi, je ne suis pas guéri, j'ai encore beaucoup à apprendre, ont dira que je suis sur la voit d'une guérison prochaine...!

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15 novembre 2016

Famille nombreuse, famille heureuse...

Famille nombreuse, famille heureuse... Est-ce vraiment le cas?

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Dans les temps où la contraception n’existait pas, les couples n’avaient qu’un seul moyen pour contrôler les naissances : l’abstinence… Cette méthode n’était pas très au point  quand on sait que les familles nombreuses étaient nombreuses justement ! Il n’était pas curieux de croiser des fratries de cinq, six ou dix enfants.

J’ai en tête le modèle de mes grands-parents qui sont issuent d'une famille nombreuse comme ma grand-mère maternel qui était une fratries de neuf. J’ai effectivement constaté que cet exemple était loin d’être singulier.

A cette époque, les enfants n’étaient pas voulu, pas comme on l’entend dans notre vingt-et-unième siècle. Les femmes avaient bien quelques astuces pour tenter de déchouer le sort mais tout ceci était assez fortuit. Ainsi, il n’était pas rare qu’une femme en attente de son retour de couches, s’aperçoive finalement qu’elle attendait un autre bébé.

En conséquence, les parents étaient  beaucoup moins attentifs aux besoins affectifs et psychologiques de leurs enfants. Les bébés, du point de vue médical et souvent culturel, n’étaient pas considérés comme des personnes pouvant éprouver des ressentis ou de la douleur. Ajoutez à cela la fréquence des décès de nourissons et de bambins en bas-âge, et vous aurez des parents à l’apparence très dure.

Dès que les ainés de la fratrie grandissaient, ils devenaient responsables des plus petits. Ils endossaient alors un statut qui n’était pas le leur et ce décalage pouvait amener des conflits d’adulte entre les frères et soeurs. Les chamaillerires étaient loin d’être sans conséquence.

Dans ce cas, quelle valeur avait l’éducation parentale ? De manière très caricaturale, on a tous en tête l’image du père qui corrigeait la progéniture, tandis que la maman s’occupait des tâches de puériculture. Cette caricature n’est tout de même pas très éloignée de la réalité. Le père assumait en effet l’aspect financier et l’autorité du ménage tandis que revenait à la mère la logistique domestique. Tant bien que mal, la maisonnée subsistait et dès que l’enfant était en âge de travailler, il participait aux exigences pécuniaires du foyer.

Il n’est pas rare que l’on entende les anciens dire qu’ils se sont élevés tout seul. Et il est aussi assez fréquent de palper une tension, voire même une cassure, au sein de ces fratries une fois adulte.

De nos jours, deux enfants est le nombre qui correspond à la norme sociétal. Et pas loin de la moitié des couples n’en ont qu’un. A partir de trois, le service public nous considère comme une famille nombreuse et le regard ahuri des gens sur les personnes qui ont quatre enfants ou plus, soit 3.7% des couples, en dit long sur la place de ces familles dans notre société.

Quel changement, n’est-ce pas ? L’apparition de la pilule a mis un terme à ce phénomène. Et je le comprends. D’une part, parce que physiquement, il devait être très dur pour une femme d’enchainer les grossesses et les allaitements. D’autre part, parce que l’entretien d’une fratrie de nombreux enfants devait être une énorme dépense et leur éducation une mission impossible. Comment est-il possible d’accorder une place équivalente à une dizaine de marmots, de leur donner du temps, une écoute et le réconfort dont ils ont chacun besoin ?

Pour autant, les méthodes éducatives ont-elles changées ? Il faut tout d’abord prendre en compte la notion de volonté. Il semblerait que les parents qui désirent fonder de grandes fratries fassent ce choix en connnaissance de cause, sans éliminer totalement les problèmes contraceptifs qui parfois ne jouent pas leur rôle convenablement. Ils ne subissent donc pas ces naissances et s’y préparent au mieux.

En outre, il est surement plus difficile pour une maman ou un papa de répondre aux exigences de cinq enfants, plutôt que deux. L’un des parents préfèrera certainement rester au foyer, au moins durant les tendres années de leur  descendance, et accompagner alors l’évolution de chacun. Il est évident que les conflits et les soucis entre les enfants sont multipliés mais l’investissement des parents permet de calmer les esprits et de rétablir l’équilibre. Il va de soi qu’il faut absolument que le couple parental remplisse pleinement son rôle auprès de chaque enfant pour éviter les dérives.

La question des finances peut poser problème, surtout en ce moment. Avoir plusieurs enfants signifie autant de bouches à nourrir, de vêtements à acheter, de cadeaux à offrir, d’études à payer et tant d’autres choses encore. Tout en gardant à l’esprit que le principe d’égalité est essentiel dans une fratrie si l’on ne veut pas créer de jalousie entre ses membres.

Et qu’en est-il de l’entente entre les frères et soeurs ? Est-ce l’harmonie, ou au contraire une rivalité constante qui règne entre eux ? Peut-être un peu des deux, comme dans chaque famille. Encore une fois, je pense que tout dépend des parents et surtout de la manière dont ils traitent tout un chacun. S’ils montrent un exemple de partage, d’amour et de justesse, il y a de fortes chances que, par mimétisme, les enfants agissent de même.

Pour finir, je voulais aussi parler des familles nombreuses recomposées. C’est assez courant de voir des fratries nombreuses, composées de compagnons de sang et de coeur. Ces familles qui ont vu le jour durant les dernières décennies, sont un exemple de tolérance et d’amour. Cependant, il est parfois très dur pour le nouveau couple de trouver la bonne synchronisation entre leur tribu respective...

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14 novembre 2016

Suite STOP à l'épuisement maternel...

STOP à l’épuisement maternel...

En rapport avec ma dernière page (sur l'épuisement maternel) 

http://mummyhappy.canalblog.com/pages/stop-a-l-epuisement-maternel---/34554353.html

voici les livres que je vous conseille d'avoir dans votre bibliothèque .

⭐️Le Burn Out Parental de Liliane Holstein 
⭐️La Fatigue émotionnelle et physique des mères de Violaine Guéritault
⭐️Il n'y a pas de parents parfaits 
⭐️ Au coeur des émotions de l'enfant 
⭐️L'intelligence du coeur 
⭐️ J'ai tout essayé ! 
➡️ D'Isabelle FILLIOZAT

Si vous avez des livres à me conseiller, n'hésitez pas à partager les titres ci-dessous 

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14 novembre 2016

STOP à l'épuisement maternel...

STOP à l’épuisement maternel...

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Je ne sais pas si on peut réellement s'en sortir seule, sans aides extérieur. En tout cas, mettre des mots sur des maux est libérateur, partager ce mal être autour de soi, l'est encore plus ! Ont m'a dit qu'il fallait que j'écrive pour évacuer, alors j'éxcécute...
Alors merci d'être là, de me suivre, de me lire, de me partager vos expériences, vos témoignages... Merci ❤️

 

Il y a des jours où je suis à bout, je suis tellement fatiguée que mon corps ne suit plus. Je me traîne, n'ai le goût à rien, le peu de temps passé avec mes enfants devient un calvaire, je n’en peux plus de les entendre crier, hurler, se disputer, pleurer… Je suis épuisée moralement et physiquement. Je ressens comme un poids, j’ai souvent du mal à respirer, comme si je portais le monde sur mes épaules. Cette sensation d’être sollicitée H24, le manque de sommeil qui s’accumule depuis bientôt..(je ne sait même plus), me tue de l’intérieur… Mes enfants m’étouffent, ils m’usent, ils m’épuisent surtout avec le deuxième (Ryvèn).

Avoir trois enfants rapprochés, ce n’est pas toujours simple, et avoir un autres bébé BABY, ça le sera encore moins.

J'ai été en congé parental pendant 3 ans et 8mois, et ne plus travailler depuis 2011, je n’ai donc plus vraiment de vie sociale depuis 2011 Vous me direz, c’est mon choix ! Je l’ai voulu de rester à la maison pour m’occuper de mes enfants, mais bon financièrement c’était tellement plus simple ainsi.

J’ai peu d’amies, le peu que j’ai, ne sont pas disponibles, les autres je les ai perdu en route depuis la naissance de mes enfants, la maternité fait changer, soi-même mais aussi les autres.

Papa Mader est beaucoup présent mais est épuisé aussi, à cause du boulot, des heures en pagaille (de nuit, de jour, de week-end, fériés...). Il est épuisé aussi par les enfants, les nuits et jours entrecoupées, mais je pense qu’il est surtout fatigué de me voir dans cet état.

Je ne suis plus la même, moi-même, je ne me reconnais plus. Avant j’étais joyeuse, optimiste, souriante… J’avais la positive attitude ! Mais ça, c’était avant... Je ne suis plus moi, je me suis perdue en chemin depuis un moment déjà.

Mon comportement peut mettre parfois en péril notre couple, papa Mader prend sûrement beaucoup sur lui, il me dit toujours qu’il m’aime malgré tout même si je ne suis pas toujours facile à vivre. Ça me fait mal au cœur pour lui, il ne mérite pas une femme comme ça, qui fait toujours la tête et n’a jamais envie de rien !

Mais pas facile de relever la tête lorsque l’on est au bord du gouffre.

En ce moment, je me sens complètement dépassée, je ne sais pas comment gérer mon temps, mon argent, mes enfants… Ma maison est dans un état qui laisse fortement à désirer (même si elle semble impeccable), mon compte en banque voit rouge depuis trop longtemps, je culpabilise beaucoup pour cette grossesse SURPRISE. J’ai aussi le gros défaut de toujours tout reporter au lendemain, les gens attendent toujours après moi surtout papa Mader (qui est bien trop patient avec moi).

À côté de ça, je rêve d’avoir du temps pour moi, du temps pour mon couple, du temps pour chacun de mes enfants. Je reflète souvent l’impression d’être une femme et une maman épanouie dans sa vie, mais j’en suis loin bien en réalité.

Bref, je perds pied, je ne sais plus où j’en suis et je ne sais pas par ou commencer pour sortir de là. D’en parler sur des forums, me fait un bien fou. Bien souvent, on se comprend…On ne se connaît que via les réseaux sociaux mais on est si proche en même temps, car on vie et partage les mêmes choses.

J’aimerais être mieux organisée dans ma vie, ne plus vivre dans le stress des découverts, d’être patiente avec mes enfants, ne plus crier, prendre du temps pour eux, ne plus m’enfermer dans ma bulle, profiter du bon temps avec ma moitié et ma famille, profiter de la vie tout simplement car elle est si courte... et surtout lâcher prise ! 

Je pense et ai envie de me trouver une activité, à faire seule et aussi avec mes enfants. Trouver quelque chose qui pourrait me faire gagner 2-3 euros pour arrondir les fins de mois.

J’ai envie de m’en sortir, cet article n’est pas un appel à l’aide… J’ai juste besoin que l’on m’entende…

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13 novembre 2016

Surprise Inattendu...

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Trop tôt, trop tard, ou simplement « en trop », parce qu’il y a déjà plusieurs enfants à la maison : la caractéristique du bébé surprise, c’est précisément d’être le grain de sable qui vient gripper la mécanique bien huilée de nos projets...

Sortir de la norme du bébé programmé au « bon » moment, c’est effectivement s’exposer à des regards surpris, voire à une franche incompréhension. (…)

Les familles nombreuses impressionnent. Les gens imaginent souvent leur quotidien avec un seul enfant multiplié par quatre. Avec un tel calcul, évidemment qu’il y a de quoi avoir peur! La vérité, c’est qu’à partir du troisième enfant, la différence est minime.

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Voilà, l'inattendu est arriver... Septembre (2016) apparition des règles mais Octobre (2016) rien, ont attend patiemment peut être du au stress (...). Puis , fin Octobre voir début Novembre, test de grossesse POSITIF!! Waouh!!! Choquée?!?! « Une catastrophe !  » Le jour où mon test de grossesse s’est révélé positif, j'ai cru que le ciel me tombait sur la tête... « Je sais, se laisser surprendre après 3 enfants, ça paraît complètement fou, mais j’en avais assez de la pilule (grosse perte de la libido, etc...). Je suis restée ainsi un an à jouer au « pas vu, pas pris ». Jusqu’au jour où… »...

Discutions et longues interrogation avec papa Mader qui as beaucoup durer...

Pour lui c'était "avortement" (je suis sidérer et à la fois perplexe). Pour moi une chose était sûre, je n'aurais jamais pu accepter un avortement , je ne me serais jamais pardonnée d'avoir "tuer " un enfant .

 Dans ma tête j'étais enceinte , la nature l'a voulu comme cela alors je ne me suis pas posée plus de questions , les hommes sont plus pragmatiques et anticipent trop et cherchent les problèmes sans savoir si il y a des solutions. Maintenant tous les hommes ne réagissent pas de la même manière et il serait dommage de mettre une vie de couple en sérieux danger avec la venue de cet enfant , dans le cas extrême te sens tu prête à accepter un avortement ? Comme je l'ai dit plus haut pour moi c'était clair je n'aurais pas pu donc papa Mader à très bien compris que c'était le bébé ou il me perdait avec une dépression monumentale.

Maintenant pleins de questions me fusent dans la tête... Je me demande comment ma famille va réagir et les questions ou réactions que cela va engendré. Je m'attend pas a recevoir des félicitations mais plutôt entendre à ce qui ressemblera plutôt à des encouragements ou du genre « Vous êtes complètement fous! », « Je vous trouve courageux. », « C’était désiré? », « Je ne sais pas comment vous allez faires… »

 

Bref, voilà voilà...

Maintenant Bébé Surprise n°4 est là et je le découvrirais à l'échographie début Décembre.

Je suis à 1 moi et demi, pour un Bébé normalement prévu fin Juin 2017...

 

A suivre...

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Mummy Happy
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